Dans votre Globe-trotters n°217
Mongolie, on va marcher sur le lac
Texte Aliénor Scrizzi & Photos Renaud Fulconias
Dans votre Globe-trotters n°217
Cap Vert à coeur ouvert
Texte et photos Cécile Clocheret
Dans votre Globe-trotters n°217
L’université du lien humain, aventure en stop
Texte et photos Vianney de Boisredon
Dans votre Globe-trotters n°217
Portfolio Seul en LAPONIE en quête du sauvage
avec Thomas Julienne

Paradis perdu (Birmanie)

Bienvenue dans un monde aux traditions vivaces, aux longyis colorés,aux feuilles dorées, aux prières bruyantes, aux joues ornées de thanakha, aux esprits farceurs…
Rien ne nous prédestinait à faire étape à Pakokku. A priori il n’y avait pas grand chose de particulier à y faire, ce qui nous a semblé être une première bonne raison de nous y arrêter.


L’autre bonne raison était la description de l’unique auberge qui la présentait davantage comme une chambre d’hôtes. L’occasion enfin d’être accueilli chez quelqu’un dans un pays où les habitants n’ont pas le droit d’héberger des touristes, notre plus grande frustration. Surtout que, jusque-là, les hôtels étaient de grandes structures aux mille et une chambres où il était plus facile de croiser des Européens que des Myanmars.

Coup de coeur Grand bien nous a pris de nous arrêter à Pakokku. Pas de paysages extraordinaires, pas de sites grandioses et pourtant…D’un commun accord, notre coup de coeur. Nous y aurions bien passé nos trois semaines.

D’abord grâce à Mya Mya, notre hôtesse dans son ancienne demeure du bord du fleuve.

Une vieille dame parlant très bien anglais, pleine de bons conseils, chaleureuse et adorable. Comme le reste de sa tribu. Le quartier où habite Mya Mya nous fait oublier que nous sommes dans une grande ville. On se croirait plutôt dans un village. Les rues prennent des allures de pistes poussiéreuses, bordées de vieilles maisons en bois ou en bambou pour la plupart et de jardins luxuriants.

Des journées riches d’imprévus Nous n’aurons guère poussé plus loin que quelques pâtés de maisons. Pas le temps de faire plus. Il faut dire que l’aventure commence à peine le pied posé hors de chez Mya Mya. On ne sait jamais ce que la journée nous réserve. Du lever au coucher, c’est une suite de rencontres et de sourires. Nous sommes très étonnés de la curiosité bienveillante et amusée que nous suscitons.

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